Des chercheurs chinois et australiens font une percée en matériaux pour les énergies renouvelables
Un groupe de chercheurs australiens et chinois ont fait une découverte qui pourrait révolutionner l'énergie solaire. Max Lu, professeur à l'Université du Queensland (UQ) de l 'Institut australien pour la bio-ingénierie et les nanotechnologies (AIBN), a déclaré qu'ils ont accompli un pas de plus en faveur de l'efficacité de l'énergie solaire.
"Nous avons fait croître les premiers cristaux d'oxyde de titane isolés, avec une grande surface réactive, alors que l'on pensait que ce serait pratiquement impossible", dit Lu à Xinhua. "Les nano-cristaux de titane permettent d'envisager l'obtention de cellules solaires plus performantes, la production d'hydrogène par la séparation de molécules d'eau, et la décontamination solaire de polluants", dit-il. Il confie que les travaux réalisés par son équipe permettent d'obtenir ces matériaux facilement et à bas coût.
Lu dit que les énergies renouvelables ne sont pas l'unique champ d'application possible pour ces cristaux miniatures à haute efficacité. "Ils sont également fantastiques pour purifier l'air et l'eau", a-t'il dit, "On pourrait peindre ces cristaux à une fenêtre ou un mur et ainsi purifier l'air dans une chambre. Cette technologie peut être très largement utilisée pour purifier l'eau et pour le recyclage de matériaux."
Lu dit que des applications comportant de tels cristaux seraient disponibles d'ici à 5 ans pour le traitement de la pollution de l'eau et de l'air, et d'ici à 10 ans pour la conversion d'énergie solaire. Le Pr. Lu dit également que ce travail résulte d'une fructueuse et ancienne collaboration internationale avec le Pr. Huiming Cheng du groupe de l'Académie Chinoise des Sciences, un institut de recherche d'envergure internationale, avec laquelle l'UQ a collaboré à plusieurs reprises dans des travaux de recherche.
Les résultats de cette recherche ont été publiés dans le dernier numéro du journal scientifique Nature.
BE Chine numéro 49 (3/06/2008) - Ambassade de France en Chine / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/54833.htm
"Nous avons fait croître les premiers cristaux d'oxyde de titane isolés, avec une grande surface réactive, alors que l'on pensait que ce serait pratiquement impossible", dit Lu à Xinhua. "Les nano-cristaux de titane permettent d'envisager l'obtention de cellules solaires plus performantes, la production d'hydrogène par la séparation de molécules d'eau, et la décontamination solaire de polluants", dit-il. Il confie que les travaux réalisés par son équipe permettent d'obtenir ces matériaux facilement et à bas coût.
Lu dit que les énergies renouvelables ne sont pas l'unique champ d'application possible pour ces cristaux miniatures à haute efficacité. "Ils sont également fantastiques pour purifier l'air et l'eau", a-t'il dit, "On pourrait peindre ces cristaux à une fenêtre ou un mur et ainsi purifier l'air dans une chambre. Cette technologie peut être très largement utilisée pour purifier l'eau et pour le recyclage de matériaux."
Lu dit que des applications comportant de tels cristaux seraient disponibles d'ici à 5 ans pour le traitement de la pollution de l'eau et de l'air, et d'ici à 10 ans pour la conversion d'énergie solaire. Le Pr. Lu dit également que ce travail résulte d'une fructueuse et ancienne collaboration internationale avec le Pr. Huiming Cheng du groupe de l'Académie Chinoise des Sciences, un institut de recherche d'envergure internationale, avec laquelle l'UQ a collaboré à plusieurs reprises dans des travaux de recherche.
Les résultats de cette recherche ont été publiés dans le dernier numéro du journal scientifique Nature.
BE Chine numéro 49 (3/06/2008) - Ambassade de France en Chine / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/54833.htm
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